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  • gâteau aux noix

     

     

    Facile à faire et léger !

    Savoie aux noix

    INGREDIENTS :

    -100 g de sucre  en poudre,

    -150g de farine,

    -50g de cerneaux de noix,

    -2 œufs,

    -4 cuillerées de lait,

    -1 sachet de levure chimique.

    RECETTE :

    1)

    Mélanger le sucre et les œufs.

    2)

     Y incorporer la farine, le lait, la levure et les noix.

     3)

     Beurrer un moule à cake et le remplir de la préparation.

    4)

    Cuire à  four moyen (th 6) pendant  30 /35 mn.

     

    MES TRUCS :

     Avant la cuisson,

    -J’ajoute du café pour colorer  la pâte  environ ½ verre,

    -Je pose des cerneaux entiers pour décorer le dessus du gâteau.

    ---------------

     

  • nouvelle anim : INFO 2èVie

    Pour les animations INFO 2èVie nouvellement créées, voici un récapitulatif de nos idées.

     Le slogan à faire passer aux élèves est ‘je ne laisse pas de déchet derrière moi’ pour cela, plusieurs possibilités (les cinq ‘R’) :

    RÉFLÉCHIR (avant d’acheter car acheter moins c’est moins produire de déchets)
    RÉDUIRE (en particulier les emballages grâce au ‘zéro déchet’)
    RÉUTILISER (échanger, récupérer)
    RÉPARER (bricoler, choisir des objets réparables)
    RECYCLER (composter, trier)

     Marguerite

    Lien fait avec l’INFO-Climat (pour éviter de construire des choses qui finiront en déchet, qui vont polluer et produisent de la fumée)
                Réfléchir à
    ‘d’où vient ce que nous utilisons’
                            de près// de loin
                            emballé // pas emballé
                            on sait comment c’est fait // on ne sait pas comment c’est fait
                            c’est fait par notre voisin // c’est fait dans un autre pays
                            on peut le réparer // on ne peut pas le réparer

     

    Demander aux élèves (aux familles)
    d’
    amener un objet (ou plusieurs)
                                       à échanger
                                       à donner
                                       à transformer

    Cet objet peut être un objet à recycler (donc sans valeur marchande), comme du bois (palette, …), du carton, des bouteilles en plastique, etc.

    Cela permet de créer une petite ‘ressourcerie’à l’école.

    Cela permettra de construire à partir de déchets pour créer de l’utile ou du décoratif, collectivement.

    Mur vegetal

     

    Reprise des idées importantes pour une affiche dans la classe.

     

    Suivant les classes, proposition de créer une chanson, une poésie, une histoire à raconter.

     

    Possibilité de construire             
                une réalisation par classe (éponges tawashi, fleur en bouchon, jardin en bouteilles – petites jardinières ou mur végétal)
                une réalisation collective
                un jeu à créer (jeu sur le tri)

    Fleur en bouchons

     

    Autres activités possibles :
                histoire en papier déchiré
                ‘cacatatouille’ : œuvre composite mélangeant un liant et des objets hétéroclites
                pliages
                bilboquet en matériaux de récup’
                voiture 4x4 en matériaux de récup’
                mobiles en matériaux de récup’
                papier reconstitué …

    Tawashi

  • réchauffement climatique: tout passe par l'éducation

    Avec Lydie Lescarmontier

    https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-idees/antarctique-barometre-du-rechauffement-climatique

    elle travaille pour The Office for Climate Education (OCE), une fondation d’éducation au changement climatique. Lydie y cible principalement les plus jeunes pour faire face à l'urgence climatique, valorisant ses expériences, ses savoirs et son désir de transmettre afin de sensibiliser un large public sur ces questions.

    Tout passe par l’éducation : (...)  le changement climatique est un problème qui nous concerne tous, on vit tous ses impacts, on va les vivre de plus en plus intensément. Je suis épatée de voir qu’on en sait si peu. (Lydie Lescarmontier)

    Cette éducation concerne aussi les politiques. (Lydie Lescarmontier).

     

  • tawashi en maternelle

    Réaliser une éponge tawashi avec des enfants de maternelle, un des ateliers proposés par sykADAP au cours de l'animation INFO 2èVie.

     

    Permet de sensibiliser à l'action de 'RÉUTILISER des objets en fin de vie pour leur donner une 2èVie',

    avec aussi comme effet de diminuer l'impact de nos déchets et de préserver les espaces et la qualité de vie.

  • Lutte contre le réchauffement climatique : l’homme au centre des décisions

    écouter la première partie de l'émission sur l'état des prévisions de Météo France avec Samuel Morin, directeur du centre national de recherches météorologiques (principal laboratoire commun entre Météo France et CNRS), chercheur à Météo France, spécialiste de l’environnement de montagne. Auteur rapport spécial océan et cryosphère GIEC septembre 2019

    https://www.franceculture.fr/emissions/linvitee-des-matins/lutte-contre-le-rechauffement-climatique-et-instauration-dune-economie-desirable-lhomme-au-centre

     

    la deuxième partie de l'émission est accessible en vidéo avec :

    Pierre Veltz, économiste, ingénieur et sociologue. Auteur de “L’Économie désirable Sortir du monde thermo-fossile” (Seuil, 2020)

    Camille Etienne, activiste pour la justice climatique et porte-parole du mouvement “On est prêt”

     

    Voir aussi dans l'actualité de ce jour

    Affaire du siècle : l’État condamné pour inaction climatique

    https://reporterre.net/Affaire-du-siecle-l-Etat-condamne-pour-inaction-climatique

     

  • Où suis-je? de Bruno LATOUR

    Leçons du confinement à l'usage des terrestres

    LIRE UN EXTRAIT

    https://fr.calameo.com/read/000215022b39994b27aba

    Ou suis je

    Depuis la terrible expérience du confinement, les États comme les individus cherchent tous comment se déconfiner, en espérant revenir aussi vite que possible au « monde d’avant » grâce à une « reprise » aussi rapide que possible. Mais il y a une autre façon de tirer les leçons de cette épreuve, en tout cas pour le bénéfice de ceux que l’on pourrait appeler les terrestres. Ceux-là se doutent qu’ils ne se déconfineront pas, d’autant que la crise sanitaire s’encastre dans une autre crise bien plus grave, celle imposée par le Nouveau Régime Climatique. Si nous en étions capables, l’apprentissage du confinement serait une chance à saisir : celle de comprendre enfin où nous habitons, dans quelle terre nous allons pouvoir enfin nous envelopper — à défaut de nous développer à l’ancienne ! Où suis-je ? fait assez logiquement suite au livre précédent, Où atterrir ?ÂComment s’orienter en politique. Après avoir atterri, parfois violemment, il faut bien que les terrestres explorent le sol où ils vont désormais habiter et retrouvent le goût de la liberté et de l’émancipation mais autrement situées. Tel est l’objet de cet essai sous forme de courts chapitres dont chacun explore une figure possible de cette métaphysique du déconfinement à laquelle nous oblige l’étrange époque où nous vivons.

     

    émission de France Culture du 25 janvier 2021

     

    émission de France Culture du 30 janvier 2021 "de prcohe en proche"

     

  • Vers la réintroduction de l'élevage en Eure-et-Loir ?

    Présentation du GIEE "Fertilité des sols et réintroduction de l'élevage"

    Le 25 janvier, Françoise et Adèle se sont rendues à Sancheville pour assister à une réunion organisée par l'ADEAR 28, visant à présenter publiquement le projet de création d'un collectif agroécologique (GIEE) autour de la réintroduction de l'élevage. L'évenement a rassemblé une majorité d'agriculteurs, ainsi que les services de l'État (DRAAF et DDT), des collectivités (CC Coeur de Beauce et Pays Dunois), des associations (Hommes et territoires, Solibio 28). La réunion a été également soutenu par des collectivités venus présenter le lancement proche d'un Projet Alimentaire Territorial. Une joyeuse piste d'avenir pour l'agriculture et l'alimentaition en Eure-et-Loir !

    Qu’est-ce qu’un GIEE ?GIEE

    Un GIEE, ou collectif agroécologique est un collectif d'agriculteurs reconnu par l'État, qui s'engage dans un projet de modification ou de consolidation de leurs pratiques culturales dans une perspective agroécologique. Il existe déjà de nombreux GIEE, rassemblant entre une quinzaine ou une quarantaine d'agriculteurs. Par exemple, selon le site officiel de l'État, il existe 43 GIEE en région Centre Val de Loire.

    Présentation du dispositif GIEE par les services de l'État

    Un GIEE rassemble un collectif d’agriculteurs qui s’engagent dans un changement de pratiques agricoles, vers des pratiques agroécologiques. Ce groupement engage les agriculteurs à réaliser un bilan trisannuel, en échange de quoi ils reçoivent des financements (issu des fonds de l’État CASDAR et des fonds européens FEDEAR). Ce groupement doit être animé et coordonné par une structure porteuse (dans ce cas il s’agira de l’ADEAR 28).

    La création d’un GIEE suit un processus en trois temps : une phase d’émergence durant laquelle le groupement reçoit des financements d’animation, permettant d’aider les agriculteurs investis à établir un plan d’action concernant leur changement de pratique. Le GIEE en question est dans sa phase d’émergence. Elle dure généralement un an, mais peut être plus courte. Suit ensuite une phase de reconnaissance, durant laquelle la structure porteuse (ADEAR 28) avec les agriculteurs déposent un dossier auprès de la préfecture pour être reconnu GIEE. Enfin une phase d’animation et de pilotage, durant laquelle les agriculteurs expérimentent des changements de pratiques et reçoivent des financements dédiés, pour une durée de 3 ans à 6 ans.

    Présentation du GIEE par l’ADEAR 28

    1469 adear28Alexandra Céalis a présenté ensuite l’ADEAR 28, en revenant sur les principes de l’agriculture paysanne et les groupements auxquels ils font partis (notamment inPACT Centre Val de Loire). Elle a retracé le portrait du groupe d’agriculteurs et d’agricultrices à l’origine de ce GIEE (des agriculteurs céréaliers d’horizon varié, conventionnel ou en conversion vers l'AB, ou encore en agriculture de conservation de sols) et des questionnements qui les ont progressivement amenés vers la création de ce groupement. En 2019, ils ont suivi une formation sur l’introduction de l’élevage sur des cultures céréalières. Leurs réflexions partent d’abord du sol et des moyens qui leurs sont disponibles pour favoriser le stockage du carbone, la biodiversité et la présence de micro-organisme dans le sol, la résilience, la rotation des cultures, comment diminuer l’usage des énergies fossiles…

    La volonté du groupement est avant tout de se questionner à plusieurs, de soutenir les réflexions, sans dogmatisme mais en collaboration. Le GIEE doit permettre aux agriculteurs d’avoir un cadre et du temps salariés pour apprendre de nouvelles pratiques et s’adapter. La durée de la phase d’émergence est volontairement courte et doit permettre de réaliser 6 actions : un état de l’art sur la fertilité des sols et la réintroduction de l’élevage, des visites de fermes, des diagnostics détaillés, une formation en microbiologie des sols.

    Les questions des agriculteurs reposent essentiellement sur le modèle d’élevage vers lequel se tourner, sur les conséquences de changements de pratiques sur les rendements de l’exploitation et sur les débouchés que cette nouvelle filière implique : vers quel élevage se tourner ? Quels couverts adopter ? Qui doit se charger de l’élevage ? Faut-il accueillir de nouveaux paysans sur l’exploitation ou s’en charger soi-même ?

    Témoignages des agriculteurs fondateurs du GIEE

    Quatre agriculteurs/trices ont pris la parole pour témoigner des questionnements qui les animent. Ils présentent se questionner depuis longtemps sur l’agriculture de conservation de sol, expliquent leur envie de reconstruire un modèle agricole qui permettent de retrouver de l’autonomie. Ils en appellent à un retour au sol, un sujet oublié qui leur porte à cœur. Mais ils ne souhaitent pas être seul à travailler sur ces questions, car ils n’en ont pas forcément le temps et parce que c’est un défi collectif selon eux, aussi bien climatique qu’alimentaire. La réintroduction de l’élevage leur apparait également comme une occasion pour « réintroduire du monde dans nos fermes » : par exemple des paysans-boulangers, des bergers… Ils soulignent aussi l’opportunité que ce GIEE offre pour s’entraider et apprendre.

    Présentation du Projet Alimentaire Territorial Beauce Dunois

    Qu’est-ce qu’un Projet Alimentaire Territorial ?

    Pat"Prévus dans la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt du 13 octobre 2014 (Art 39), les projets alimentaires territoriaux s'appuient sur un diagnostic partagé faisant un état des lieux de la production agricole et alimentaire locale, du besoin alimentaire du bassin de vie et identifiant les atouts et contraintes socio-économiques et environnementales du territoire.

    Élaborés de manière concertée à l’initiative des acteurs d'un territoire, ils visent à donner un cadre stratégique et opérationnel à des actions partenariales répondant à des enjeux sociaux, environnementaux, économiques et de santé. L’alimentation devient alors un axe intégrateur et structurant de mise en cohérence des politiques sectorielles sur ce territoire." D'après le Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

    Les collectivités présentes, le Pays Dunois et la Communauté de communes Cœur de Beauce, souhaitent valoriser les circuits courts. En 2017, elles réalisent un premier diagnostic des circuits courts et mettent en place un forum de l’alimentation, qui sera renouvelé en 2018. En 2020 avec le soutien de la région Centre Val de Loire, elle dépose donc un dossier à un appel à projet lancé par l’État, visant à soutenir l’émergence de PAT. Les financements permettront de recruter un chargé de mission dédié à la mise en place de ce projet.

    Les pistes d’action de ce PAT vise d’abord à favoriser l’approvisionnement local de la restauration collective, à favoriser l’accessibilité aux produits locaux et à préserver les espaces dédiés à la production alimentaire (notamment par une action sur le foncier).

    Présentation de l’association Hommes et Territoires

    Association hommes et territoires afb607f29e734490b7d0befc06a42290L'association Hommes et Territoires a pour objet de rechercher, de promouvoir et de mettre en place les solutions d'un développement durable pour l'agriculture et les territoires. Elle participe à l'amélioration de la biodiversité sauvage(ordinaire ou remarquable) et de ses habitats en lien avec le développement économique des territoires. Elle vise également à développer la biodiversité dans un objectif de valorisation pour l'agriculture (ex : développement des auxiliaires des cultures dans un but de gestion des bioagresseurs et de réduction de l'utilisation de produits phytosanitaires, amélioration du cadre de vie et des paysages), pour la chasse (accroissement des populations des espèces gibiers) et pour la société (amélioration du cadre de vie, services rendus par la nature...).

  • La Route de Jack London

    « LA ROUTE »

    de

    La routeJACK   LONDON

    Bibliothèque  SYKadap n° 352.

    Jack London :

    - écrivain américain,

    -né à San Francisco en 1876 et mort en Californie en 1916.

    « La route » :

    «Si j’ai pris la route c’est parce que je n’ai pas pu l’éviter parce que je n’avais pas le prix d’un billet de chemin de fer en poche, parce que mon tempérament m’interdisait de faire toute ma vie le même métier au même endroit , parce que tout simplement parce qu’il était plus facile de prendre cette décision plutôt que de ne pas la prendre .»

    Un récit d’aventures dont il est lui-même le héros.

    En 1893-1894, il  a 18 ans et décide de prendre la route.

    Il parcourt ainsi  20 000km sur le réseau ferré américain avec « les hobos », vagabonds voyageurs qui « brûlent le dur » (voyagent sans billet)....non sans dangers !

    Il nous montre  ainsi comment

    - avec agilité, force et astuces s’agripper à un train en marche ,y descendre incognito …à la manière d’un Belmondo ou d’un James Bond !!!!

    -raconter une bonne histoire c’est le moyen de ne pas mourir de faim,

    -échapper aux taureaux (les policiers) et survivre en prison.

    Charlie Chaplin a peut-être pu s’en inspirer !

    2)

    Un témoignage sur le vagabondage  aux Etats –Unis

    En 1893, le pays  est ravagé par une crise financière et de l’emploi.

    Le héros va partager la vie d’une armée de 100 000 chômeurs traversant le pays  pour obtenir du président, à Washington , le lancement de travaux publics.

    Il nous livre ainsi une étude sociologique  et ethnographique de ces  millions de vagabonds.

    3)

    La route :Une autre manière de voir la vie , de la vivre.

    50 ans après   Jack  Kérouac  a intitulé son roman –phare « Sur la route » 

    ( Bibliothèque SYKadap N° 354.)

    en hommage à celui de Jack London !

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