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Lors de la formation Civique et citoyenne des Volontaires Services Civiques sur le thème du changement climatique le 15 mars 2021 aux PEP 28, animation réalisée avec sykADAP et les jeunes volontaires.

Trois projets sont portés par les jeunes de façon collaborative lors de la phase de conception-action. Ces projets sont présentés ci-dessous et pourront donner lieu à une phase de mise en oeuvre dans les semaines à venir.

Depuis le début de l’année 2021, l’association Sykadap propose des ateliers aux élèves internes de l’EREA (Établissement régional d'édiucation adaptée) à Mainvilliers. Le mardi soir durant une heure, à partir de 17h30, un groupe d’élèves volontaires a construit du mobilier pour … les oiseaux ! Nichoirs, mangeoires, chacun était libre de choisir le modèle qu’il souhaitait construire, avec pour matériau de base les fameuses palettes, bien utile déjà lors des ateliers Hôtel-à-insectes. 
Durant plusieurs semaines, les élèves ont été accompagnés par Morgane, Bernard, Joanne, Adèle et épaulés par d’autres membres de l’association (Carole-Anne, Vivien et Emmanuel).
Chaque élève a d’abord pu choisir sa palette, la démonter à l’aide d’un pied-de-biche et d’un marteau ou d’un outil construit par Florian, pour obtenir des planches.

 

Ensuite, s’appuyant sur un modèle fourni par Bernard, il s’agissait de prendre les mesures et de découper les planches à la bonne taille.

 

 

Venait ensuite la phase d’assemblage : munis de marteau et de clous, chacun expérimentait la résistance des planches de récupération. Le travail en équipe s'est toujours montré bien utile.

 

 

Les derniers ateliers ont été consacrés aux finitions : poser une charnière pour assurer l’ouverture de la mangeoire, percer l’entrée du nichoir à l’aide d’une scie-cloche, ou encore peindre et personnaliser le mobilier à son gout (noir, rose, vert ou bleu). 

 

Le dernier soir, accompagné d’un doux soleil d'hiver, chacun a pu poser son nichoir ou sa mangeoire. Le travail d’équipe a permis de les positionner bien en hauteur et selon la bonne orientation.

Il ne reste plus qu’à souhaiter la bienvenue aux habitants des nichoirs et à féléciter cette joyeuse équipe !

Depuis le début de l’année 2021, l’association Sykadap propose des ateliers aux élèves internes de l’EREA (Établissement régional d'édiucation adaptée) à Mainvilliers. Le mardi soir durant une heure, à partir de 17h30, un groupe d’élèves volontaires a construit du mobilier pour … les oiseaux ! Nichoirs, mangeoires, chacun était libre de choisir le modèle qu’il souhaitait construire, avec pour matériau de base les fameuses palettes, bien utile déjà lors des ateliers Hôtel-à-insectes. 
Durant plusieurs semaines, les élèves ont été accompagnés par Morgane, Bernard, Joanne, Adèle et épaulés par d’autres membres de l’association (Carole-Anne, Vivien et Emmanuel).
Chaque élève a d’abord pu choisir sa palette, la démonter à l’aide d’un pied-de-biche et d’un marteau ou d’un outil construit par Florian, pour obtenir des planches.

 

Ensuite, s’appuyant sur un modèle fourni par Bernard, il s’agissait de prendre les mesures et de découper les planches à la bonne taille.

 

 

Venait ensuite la phase d’assemblage : munis de marteau et de clous, chacun expérimentait la résistance des planches de récupération. Le travail en équipe s'est toujours montré bien utile.

 

 

Les derniers ateliers ont été consacrés aux finitions : poser une charnière pour assurer l’ouverture de la mangeoire, percer l’entrée du nichoir à l’aide d’une scie-cloche, ou encore peindre et personnaliser le mobilier à son gout (noir, rose, vert ou bleu). 

 

Le dernier soir, accompagné d’un doux soleil d'hiver, chacun a pu poser son nichoir ou sa mangeoire. Le travail d’équipe a permis de les positionner bien en hauteur et selon la bonne orientation.

Il ne reste plus qu’à souhaiter la bienvenue aux habitants des nichoirs et à féléciter cette joyeuse équipe !

De la part de Reynald :

Comme promis, voici en PJ, la recette des harengs marinés de ma maman, telle que je la perpétue en pensant à elle.

Le hareng frais se vend en Normandie dans les tous premiers jours de novembre, pendant les traditionnelles foires au hareng qui durent le temps d'un week-end.

Il se vend alors aux alentours de 1,50 € le kilog, ce qui en fait un plat extrêmement économique, et se consomme avec délices entre bons amis réunis pour l'occasion.

Projet ADAPsyk
‘8 Mds de cerveaux pour la Fabrique Climatik’

Des personnes s’expriment dans un cadre récurrent : une chaise en paille devant un drap blanc. Elles disent ou elles lisent une partie du texte.
Le texte est écrit et il est à écrire. Il est aussi à suivre, dans le temps et dans l’espace jusqu’à revenir aux premiers locuteurs.

Le problème ce n’est pas le changement climatique, le problème c’est les humains.

On nous dit que du point de vue physico-chimique tout est encore possible … ce qui voudrait dire que même si le climat a déjà changé, avec des extrêmes de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses, on pourrait ne pas avoir un emballement hors de contrôle avec dépassement des seuils de basculement.

Le problème c’est que les 8 Milliards de cerveaux ne sont pas orientés pour la RE fabrique climatique.

Après avoir réduit espaces et ressources et généré extinctions en cascades et pénuries par pléthores, il n’y a plus qu’une issue collective : tenter, quoi qu’il en coûte de sauver la peau de la planète.

C’est un travail colossal de réédification des espaces partagés entre humains et non-humains. La réédification plutôt que la réification.

Expérimenter, bâtir sur le terreau de l’action, chercher à comprendre ce qui peut survivre, abandonner ce qui nous plombe notre avenir et nous fait sombrer corps et âmes. 

Plus rien n’est évident, nous sommes tous redevenus des nouveaux-nés.

On doit ralentir tous les flux et en même temps cultiver l’éveil des sens, affuter notre esprit, apprendre, comprendre, coopérer.

Le confinement a redéfini notre espace et notre temps. Plus d’incursion hors de notre champ de proximité et une temporalité sous tension, avec des plages interdites.

C’est un apprentissage rapide et radical de la nouvelle normalité. Ne cherchons pas à en sortir, cultivons-la plutôt.

Les alertes rouges météo à répétition viendront cumuler leurs confinements dans nos prochaines années, et les effets sanitaires et sociaux nous contraindront sur plusieurs fronts.

Notre espérance de vie va en prendre un coup certainement, dès maintenant et de plus en plus sévèrement : c’est la nouvelle exponentielle qui dresse sa courbe. La décroissance démographique va s’imposer comme la première des décroissances et mère de toutes les autres. Comment élever demain un petit ?

Alors c’est le désespoir qui pointerait son nez au milieu de notre collectif ? que nenni !
Quand nous verrons les jeunes et les moins jeunes associer leurs vies, leurs heures, leurs bonheurs, leurs malheurs, leurs peines, leurs joies, pour RE fabriquer le monde mois après mois, année après année, on pourra se permettre de vivre moins vieux, d’endurer certaines privations, de perdre quelques avantages, de trimer aussi davantage, avec aussi du bon vivre !

Avec Bruno LATOUR et son nouveau ‘Où suis-je ?’ on a des propositions à prendre et à laisser, mais, à 73 ans, on peut dire que le vieux a encore des choses à nous proposer et ça c’est cool !

Pas de plan de bataille, non … c’est peut-être décevant ? De toute façon les batailles vont arriver vite. Soyons prêts, avec ceux qui monteront au front.

Sinon Bruno LATOUR est trop médiatique, sur toutes les radios, sur tous les plateaux, une bonne affaire, un bon réseau, moi j’aime bien qu’on lui donne la parole ! Ça fait aussi parler chez nous, personne n’a la solution mais à tous on sent déjà qu’on peut beaucoup.
Maintenant on rigole, et on y va !

Continuer nos INFO Climat pour compenser le manque d’engagement de l’Éducation nationale + Agir en témoignant (messages vidéo de conviction), agir aussi par des actions légales (cf https://www.franceculture.fr/oeuvre/justice-climatique-proces-et-actions  Marta Torre-Schaub )