Perspectives & Projets

Notre cerveau ne pèse que 1,3 kg en moyenne, soit 1,5% du poids du corps, alors qu’il consomme plus de 20% de notre énergie totale afin d’alimenter 89 milliards de cellules neuronales. Chacune pouvant établir plus de 10 000 connexions, le fonctionnement de notre cerveau engendre plus d’un million de milliards (10¹⁵) de connexions à chaque instant.

Cette extraordinaire complexité du cerveau humain est le résultat d’une très longue évolution (500 millions d’années) qui s’est progressivement établie à trois niveaux :
1/ une évolution biologique allant du singe à l’Homo sapiens sapiens ;
2/ une évolution individuelle et environnementale, innée et propre à notre espèce qui se singularise au cours de notre développement par épigénèse, c'est-à-dire en sélectionnant les réseaux neuronaux les plus stimulés par notre environnement ;
3/ une évolution sociale et culturelle, sous l’influence de l’expérience et de l’éducation, par intégration des comportements, des codes et des valeurs d’une ou plusieurs cultures et sa transmission par épigénétique.

Ainsi notre cerveau se modifie en permanence grâce au mécanisme de la plasticité cérébrale (…) c’est un organe en perpétuelle modification : non seulement sa morphologie et sa structure évoluent, mais, plus encore, son fonctionnement peut être dynamiquement reconfiguré à chaque instant.

Dans notre organisation cérébrale, le système émotionnel (réseau de la saillance) se révèle tout aussi important que le système spéculatif et sensorimoteur (réseau exécutif) ou que le système de pensée libre ou associative (réseau par défaut). D’aucuns avancent même, avec de solides arguments, que le système émotionnel serait le maître à bord qui orienterait le fonctionnement des autres réseaux. S’il est donc fondamental d’apprendre à le gérer, il est en revanche dangereux ou très handicapant de chercher à l’étouffer.

Source:  Fanny Nusbaum
Les philo-cognitifs (Odile Jacob, 2019)

Si nous mettions ces ressources en connexion au sein d'un collectif ...

C'était un peu les états généraux de l'association ce soir-là à Plancheville à partir de 17h et jusque tard dans la nuit !

24 personnes étaient présentes, par une soirée très agréable en extérieur. Il faudra peut-être penser la prochaine fois à préparer des chants, de la musique ou un intermède spectacle pour la rentrée.

Il y a eu repas partagé et nous avons aussi pu échanger sur quelques points, de très bons retours de cette soirée par les présents et la joie de voir passer Damien et Anne parmi nous ce soir-là :

• un espace d’échange d’adresses mail/ compétences pour ceux qui le souhaitent est envoyé aux adhérents et sympathisants qui pourront l'abonder et le consulter selon leurs souhaits pour de futurs liens qui libèrent !
• au terrain de Daniel à Lèves : une personne référente, c'est Sylvie T, s'est proposée, les modalités proposées par Sylvie sont à découvrir ICI
• donc aussi un prochain rendez-vous : samedi 25 septembre matin de 10h à 12h au terrain de Daniel à Lèves pour échange de graines et de boutures (aussi de levains et de grains de kéfir)
• on en profite pour mentionner un pot de fin de VSC pour Adèle mercredi 15 septembre à 15h au terrain de Daniel à Lèves
• Infos sur la situation de la cour de l’école de Châteauneuf (Emma a fait des photos) et les premières conséquences de l’abattage des arbres d’un point de vue bioclimatique : dès qu’il fait un peu beau/ chaud on ressent la chaleur qui s'accumule et on cherche à s’en protéger dans cette cour nouvellement goudronnée et sans l'effet bienfaisant et climatisant des arbres. Les gravillons du milieu de la cour sont la seule distraction des enfants actuellement … nous allons proposer des aménagements de cour d’école et/ ou diffuser des infos sur les pratiques vertueuses dans ce domaine. Voir article à ce sujet LA
• un prochain camp climat aura lieu du 29 octobre au 1er novembre, de retour à la Hardonnière chez Damien et Anne pour créer un haie, pour construire un module prédagogique sur les Quatre éléments (eau, air, terre, feu) et pour des visites locales
• des rencontres pour peaufiner le festival Clap'Adap avec Bastien seront proposées avec une prochaine mercredi 15 septembre matin de 10h à 12h chez Laurent à La Taye. Ce festival est une proposition de 18 rencontres sur 18 jours au printemps prochain sur le thème 'nous nourrir' (avec un regard très climatique bien sûr). Plusieurs lieux seront aussi proposés avec Bastien : le cinéma de Chartres, certains lieux de rencontre, certaines salles communales, certaines granges agricoles ...

 

 

 

 

 

Projet ADAPsyk
‘8 Mds de cerveaux pour la Fabrique Climatik’

Des personnes s’expriment dans un cadre récurrent : une chaise en paille devant un drap blanc. Elles disent ou elles lisent une partie du texte.
Le texte est écrit et il est à écrire. Il est aussi à suivre, dans le temps et dans l’espace jusqu’à revenir aux premiers locuteurs.

Le problème ce n’est pas le changement climatique, le problème c’est les humains.

On nous dit que du point de vue physico-chimique tout est encore possible … ce qui voudrait dire que même si le climat a déjà changé, avec des extrêmes de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses, on pourrait ne pas avoir un emballement hors de contrôle avec dépassement des seuils de basculement.

Le problème c’est que les 8 Milliards de cerveaux ne sont pas orientés pour la RE fabrique climatique.

Après avoir réduit espaces et ressources et généré extinctions en cascades et pénuries par pléthores, il n’y a plus qu’une issue collective : tenter, quoi qu’il en coûte de sauver la peau de la planète.

C’est un travail colossal de réédification des espaces partagés entre humains et non-humains. La réédification plutôt que la réification.

Expérimenter, bâtir sur le terreau de l’action, chercher à comprendre ce qui peut survivre, abandonner ce qui nous plombe notre avenir et nous fait sombrer corps et âmes. 

Plus rien n’est évident, nous sommes tous redevenus des nouveaux-nés.

On doit ralentir tous les flux et en même temps cultiver l’éveil des sens, affuter notre esprit, apprendre, comprendre, coopérer.

Le confinement a redéfini notre espace et notre temps. Plus d’incursion hors de notre champ de proximité et une temporalité sous tension, avec des plages interdites.

C’est un apprentissage rapide et radical de la nouvelle normalité. Ne cherchons pas à en sortir, cultivons-la plutôt.

Les alertes rouges météo à répétition viendront cumuler leurs confinements dans nos prochaines années, et les effets sanitaires et sociaux nous contraindront sur plusieurs fronts.

Notre espérance de vie va en prendre un coup certainement, dès maintenant et de plus en plus sévèrement : c’est la nouvelle exponentielle qui dresse sa courbe. La décroissance démographique va s’imposer comme la première des décroissances et mère de toutes les autres. Comment élever demain un petit ?

Alors c’est le désespoir qui pointerait son nez au milieu de notre collectif ? que nenni !
Quand nous verrons les jeunes et les moins jeunes associer leurs vies, leurs heures, leurs bonheurs, leurs malheurs, leurs peines, leurs joies, pour RE fabriquer le monde mois après mois, année après année, on pourra se permettre de vivre moins vieux, d’endurer certaines privations, de perdre quelques avantages, de trimer aussi davantage, avec aussi du bon vivre !

Avec Bruno LATOUR et son nouveau ‘Où suis-je ?’ on a des propositions à prendre et à laisser, mais, à 73 ans, on peut dire que le vieux a encore des choses à nous proposer et ça c’est cool !

Pas de plan de bataille, non … c’est peut-être décevant ? De toute façon les batailles vont arriver vite. Soyons prêts, avec ceux qui monteront au front.

Sinon Bruno LATOUR est trop médiatique, sur toutes les radios, sur tous les plateaux, une bonne affaire, un bon réseau, moi j’aime bien qu’on lui donne la parole ! Ça fait aussi parler chez nous, personne n’a la solution mais à tous on sent déjà qu’on peut beaucoup.
Maintenant on rigole, et on y va !

Continuer nos INFO Climat pour compenser le manque d’engagement de l’Éducation nationale + Agir en témoignant (messages vidéo de conviction), agir aussi par des actions légales (cf https://www.franceculture.fr/oeuvre/justice-climatique-proces-et-actions  Marta Torre-Schaub )

OFFRE

 

il y a des INFO-climat des potaG en bottes de paille des hôtels à insectes en terre-paille-palette des ateliers Plantes Sauvages des interventions sur mesure (BD, atelier pain, …)

 

et peut-être qu’on peut en vivre un peu ??

auto entrepreneur, un statut à créer ??

 

et il y a une association qui soutient

 

ET POUR QUOI

faire prendre le climat pour ce qu'il est

se dire que 2020 est peut-être l'année la plus douce des 20 prochaines années

 

contact : 06 33 61 96 45

sykadap@gmail.com

 

 

En avril XX, sykAdAP a fait sa première mue, Hoho !!

 

Eh oui ! Devant le covid on a eu le vertige…

Mise en place d’un plan de réflexion-action le 4 avril qui a débouché sur sept rendez-vous « zoom » selon un programme partagé (zoom 1 : zoom 1 - solidarité par les groupes d'activité) :

Réflexion sur les Ressources essentielles et comment les sécuriser :

Zoom 2 : Zoom 2 Gestion communauté appro RE

         Zoom 5 - Ressources Essentielles suite (et FIN)

Réflexion sur la cartographie de notre zone de vie :

         Zoom 3 : Zone de vie et CARTO

         Zoom 6 :Carto 2

Réflexion sur les compétences utiles

         Zoom 4 : compétences pour la communauté

… et même, réflexion sur le confinement !!
         Zoom : confinement et après

 

ALORS maintenant que nous avons préparé le terrain, PRÊTS à poursuivre !

 

Chantier production (maraîchage et plantes sauvages)

Chantier stockage

Chantier matériels et outillages

 

Inscrivez-vous si vous le souhaitez sur l’un de ces chantiers pour participer à sa mise en place !

C’EST sur sur CE document partagé : https://lite.framacalc.org/9gfo-g0xzjxnujg (cochez avec une x – intéressé(e), ou deux xx – déjà investi(e))

 

ARTICLES de synthèse (regroupant les supports utiles) :

Autoformation : « Gestion communautaire en ressources»

Autoformation "Connaissance de sa zone de vie"

Autoformation "compétences pour la communauté"

Avec une réunion à venir en mai pour la suite sur les compétences :

Constituer la Charte

            Cartographier ces compétences

 

 

 

Autoformation 3 : « Compétences requises pour vivre dans une communauté si possible autonome »

Résumé de l'autoformation qui a eu lieu le mercredi 22 avril 2020 à 10H30

3 Liens proposés par Françoise :

batirdesalternatives.wordpress.com/diiferentes-manieres-de-vivre-ensemble/

https://toitsalternatifs.fr/

mescompetencesgeneriques.net/dix-competences-generiques-pour-la-communaute/

SUITE en mai (date à préciser)
Constituer la Charte

Liste des personnes et de leurs savoir-faire (https://lite.framacalc.org/9ggb-0uj1hfwaag )

Cartographier ces compétences

Cartographier ces compétences

 

Voici quelques traces de notre Autoformation 1 du mercredi 15 avril 2020 via « Zoom 2 »

Gestion communautaire d’un approvisionnement en ressources essentielles.

(vidéo 20 min)  https://youtu.be/XDwYYFnivQw

DIAPORAMA zoom-2.pdf (411.42 Ko)

FICHE "STOCKER" stocker.pdf (72.35 Ko)

FICHE "le contenu de mon assiette" sur-mon-assiette.pdf (101.09 Ko)

Vidéo Arthur Keller sur la définition de la résilience (23 min), à regarder pour tous avant la réunion II du 27 avril : https://www.youtube.com/watch?v=J6Fzz0gm74c&t=61s

 

Samedi 4 avril 2020

Bonjour à toi ami(e) de sykADAP !

‘RESET’ de toute la société humaine par la situation COVID19

> Ah tiens ! Les besoins de base ne peuvent pas être confiés à des marchands motivés uniquement par le gain, et la notion de service public doit être réhabilitée…

> Ah oui et aussi ! : l’alimentation et la santé sont des essentiels, et les personnes qui assurent ces champs de compétence doivent être considérées…

On aurait du avoir l’impression d’enfoncer des portes ouvertes … et pourtant tout est bel et bien à revoir…

 

Ce qui est nouveau :

> Les zoonoses (maladies causées par des pathogène d’animaux sauvages) et autres pandémies deviennent une contrainte durable de la vie humaine sur Terre (résultat de l’augmentation du nombre d’humains et de la destruction des espaces de vie sauvage et de pratiques barbares sur les animaux).

> Les conséquences d’un confinement XXL, conséquences allant jusqu’à la remise en cause du système économique mondialisé, engendrent une crise systémique qui ne fait que démarrer et dont les conséquences sont difficiles à entrevoir.

> La mortalité des semaines de mars avril mai 2020 en France crée un électrochoc durable dans notre communauté humaine.

> La résilience de notre société prend déjà forme grâce à celles et ceux qui œuvrent en confiance, en solidarité, en générosité et même en abnégation. 

extrait d'une vidéo mise en ligne par Arthur Keller le 22 mars 2020

pour voir toute la vidéo c'est sur ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=9CSuuEdpEuI&feature=emb_logo

 

Pour notre petite entité associative sykADAP, il s’agit d’évoluer en tenant compte de tout cela.

> Hypothèse 1 : l’objet de notre engagement, le CLIMAT (et les menaces qui y sont attachées, bien plus grandes que ne le sont les pandémies) ne sera plus autant la préoccupation de personnes qui vont regarder comment la crise en cours modifie leur vie (perte d’un proche, perte d’emploi, …). Toute personne va aussi chercher à sécuriser sa vie sur les aspects matériels, sur la santé et l’alimentation.
>> Pour sykADAP, cela implique de revisiter les approches pédagogiques, d’intégrer le vécu de 2020 (montrer par ex. que le fait de sécuriser sa santé et son alimentation est vertueux à de nombreux égards et aussi sur le volet climatique).

> Hypothèse 2 : la crise en cours pourrait se développer avec des effets dominos de plus en plus inattendus (un autre type de contagion en quelque sorte). S’assurer soi-même d’une partie de sa subsistance ne serait peut-être plus un luxe. De même certaines activités pourraient n’être assurées que de manière irrégulière par les agents habituels…
>> Pour sykADAP, cela engage à continuer d’explorer la voie de l’autonomisation locale déjà très présente dans nos activités (en particulier depuis le Camp climat d’août 2019).

 

Rentrons dans ce qui pourrait être le concret des activités de sykADAP :

• Des activités auprès des scolaires et autres publics :
  En intégrant dans nos interventions un volet de prise en compte de ce qui a été vécu en 2020, et en regardant comment le volet climatique y est relié (avec le CLIMAT, c’est aussi une menace potentiellement catastrophique que l’on évoque, mais qui développe ses effets sur un temps plus long, avec nos possibilités d’action qui s’amenuisent, mais restent réelles, et que l’on doit s’imposer et imposer).
• Des activités d’autoformation des membres de sykADAP :
  il s’agirait de se former à des actions d’adaptation telles que : gestion communautaire d’un approvisionnement en ressources essentielles, connaissance de sa zone de vie (zone de 10 km de rayon centrée sur son point de vie), compétences requises pour vivre dans une communauté si possible autonome, etc.
• Des activités de production et de préservation de ressources contribuant à l’entraide au sein du groupe des membres de sykADAP :
  -- des zones de maraichage et de cueillette sauvage à développer
  -- des denrées à produire, collecter, conserver, distribuer
  -- des matériels à entretenir, réhabiliter, concevoir, utiliser en commun.

Si nous avançons dans cette voie, émergent alors des groupes d’activité (GA), et cela dès les semaines à venir (nous pouvons préparer cela dès le temps de confinement) :
--- Groupe d’activité : « Approches pédagogiques de l’après 2020 »

--- Autoformation 1 : « Gestion communautaire d’un approvisionnement en ressources essentielles »
--- Autoformation 2 : « Connaissance de sa zone de vie (zone de 10 km de rayon centrée sur son point de vie) »
--- Autoformation 3 : « Compétences requises pour vivre dans une communauté si possible autonome »

--- Chantier permanent 1 : « maraîchage et cueillette sauvage »
--- Chantier permanent 2 : « collecter, conserver, distribuer »
--- Chantier permanent 3 : « entretenir, réhabiliter, concevoir, utiliser en commun des matériels (ressources et outillage) »

--- Et toujours aussi essentiels, des temps de partage et festifs à organiser

>>> Des dates seront réservées dès que la circulation des personnes sera libérée

>>> Tu souhaites être membre de l’un ou l’autre de ces groupes d’activité, autoformations, chantier permanent, que ce soit pour y être

Penseur, concepteur,
faiseur, acteur,
conteur, inspirateur,
facilitateur,
… ou tout ça à la fois
alors prends le temps de la réflexion, ou même dès maintenant, réponds à l’invitation de sykADAP sur sykadap@gmail.com
en indiquant         #solidaritéGA (pour solidarité par les groupes d’activité)
 

#    SOLIDAIRE PAR LES GROUPES D'ACTIVITE    #   

GRODEBAT

 

 

Idées sorties du groupe

 

 

C’est quoi le problème ?

 

Se couper des approvisionnements volontairement et dans un but d’apprentissage (de plus en plus longtemps)

Constat que le travail est le problème, on n’a plus de temps pour vivre soi-même.

Se couper des apports financés par la monnaie.

Transports payants, nourriture payante, chauffage payant…

Pas de contact aussi via les réseaux sociaux, est-ce possible, souhaitable, …

 

 

Dans l’idéal

 

Connecté corps et esprit. Aller vers une médecine de la santé (cf. 2è cerveau).

Le jeûne de nourriture, le jeûne numérique sont des étapes nécessaires qu’il faut insérer dans nos itinéraires.

Se couper des écrans qui sont une relation « contre-nature » pour retrouver le lien avec la nature.

Se couper des bruits et des odeurs de la ville, partir de la ville.

Quitter le travail.

Aller vers l’autonomie de production alimentaire.

 

 

Concrètement

 

Le numérique est addictif car il apporte très vite et très efficacement une réponse à un manque, à ce qui est ressenti comme un besoin. S’en passer est souhaitable, désirable, donc réalisable. Expérimenter de plus en plus longuement nos coupures numériques.
Le lien de personne à personne redevient le lien usuel.

Mettre en place la gestion des semences en vue de l’autonomie.

Pour faire cette transition il faut être bien, en forme psychologiquement, car il s’agit aussi de faire face au froid et à la pénurie. Donc aussi, ne pas le faire tout seul.

Faire bon usage des connaissances à notre disposition.