Retour Camp climat été 2019

Un camp climat qui évolue !

D'abord avec deux jours "survival" avec un petit groupe de volontaires (cinq, plus un en soutien), suivi d'un débriefing le soir du retour, dont vous touverez ci-dessous le compte-rendu. C'est éclairant pour notre vision des actions à venir.

Et aussi deux jours avec la convivalité d'un couscous partagé (Colette ;) et deux activités issues des formations proposées par "le Jardin des Petites Rûches" où nous étions (Pascale et Bernard) en formation il y a dix jours : création dune palissade à partir de bois d'élagage

et vannerie sauvage à partir de plantes collectées dans la nature.

Voici ci-dessous un résumé vidéo de ces quatre jours de camp climat d'été et à la suite le compte-rendu du débriefing "survival"

 

documents proposés : Notes lors du periplenotes-lors-du-periple.pdf (82.57 Ko) Debriefing survival aout 2019debriefing-survival-aout-2019.pdf (116.08 Ko) Propositions camp climatpropositions-camp-climat.pdf (71.46 Ko)

DEBRIEFING survival 23 et 24 août 2019 – Camp climat été

« à chaud » à 20h le jour même avec les six participants (cinq marcheurs et une accompagnatrice)

suite à la lecture des notes et impressions de chacun : questionnement sur l'intérêt de l'activité, sur le souhait ou non de la reconduire et selon quelles modalités

 

Françoise :

Le refaire : oui

Ne pas partir de Plancheville ?

En terrain moins connu

En période moins propice

À renouveler 3 fois par an

Taille des groupes 4 ou 5 optimale

Groupes hétérogènes (âges, connaissances, capacités)

C’est bien d’avoir des distractions

  • Jeux

  • Apprendre des choses

  • Noter/ échanger

Nécessaire de faire un affichage sur le sens de notre action, ce qui facilite aussi la rencontre

Une tente (2-3 places) pour cinq c’est suffisant

La force du groupe

Se limiter au local

 

Gabrielle

La question de l’eau est primordiale : on marche dans cet objectif (vers le la Conie, vers le Loir,…)

Quel objet doit-on avoir par rapport à cette question de l’eau

Marcher est pertinent par rapport à la question de l’effondrement

Contribuer au portage sur des objets légers si on n’a pas de grandes capacités

Constituer une trousse effondrement + savoir ce qu’il y a dedans + savoir ce qui me manque + savoir ce que je dois trouver

 

Héloïse

L’activité vécue est pertinente, par contre, les ressources, on a continué à les avoir en fait, donc on n’a pas vraiment été stressé par cette question (eau courante dans les cimetières, pain chez Gervais, fruits).

Il faut trouver une façon de vraiment se reposer dans la tente (n’a pas été le cas pour cause d’inconfort).

Utiliser certains objets techniques disponibles ou trouver des alternatives. De même, utiliser certains produits (crème solaire) ou leurs alternatives.

Accroître la connaissance des lieux des ressources existantes actuellement, des gens qui sont personne ressource et que l’on peut rencontrer : ils ont un savoir-faire, ils connaissent bien leur lieu de vie. Avoir un petit questionnaire à leur proposer (leur vision, leur savoir-faire, les ressources –objets- dont ils disposent, y compris dans le domaine culturel – théâtre, par ex). Identifier les personnes ressources sur un secteur (ex Michèle/ Dancy).

Avoir connaissance des lieux de bivouac possible (ex la grange de Michèle à Dancy), ce qui peut aussi permettre de ne pas emmener de tente.

Cette quête devient alors une bonne raison de marcher : sensibilisation des personnes rencontrées à la démarche, compléter ce qui me manque.

 

Florian

Faire des formations (les expérimenter et les proposer)

  • Savoir plusieurs façons d’utiliser l’eau

  • Savoir plusieurs façons d’utiliser le feu

  • Savoir plusieurs façons de s’alimenter, de prodiguer des soins, avec les plantes

Formation de type PLC1 pour la forme qui pourrait être pensée comme formation initiale obligatoire.

Du coup il faut trouver un moment pour concevoir le module de formation.

Exercice possible : à partir d’un objet, trouver toutes les utilisations possibles de cet objet.

Autre exercice : constitution d’un sac de base.

 

3 axes issus de ces réflexions

  • Connaître son local

  • Expérimenter en zone inconnue

  • Créer des formations

 

Avec en plus :

  • Régularité des expérimentations

  • Expérimenter aussi des déplacements à vélo (prévoir des ateliers vélo pour savoir réparer, dépanner)

  • Travail sur la communication (communication en zone inconnue, s’obliger à communiquer,…)

 

 

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